Les joies du travail de bureau (1) : le bizutage non-humain
Aujourd'hui commençait ma première journée de travail en tant que stagiaire pour CIP (cherchez pas sur Internet, c'est une abréviation de mon acabit), et elle fut déjà marque par quelques évènements sympathiques.
On pourrait croire que l'arrivée d'un stagiaire dans une entreprise donne lieu à tout un tas de brimades de la part de ses nouveaux collègues, eh bien dans mon cas pas du tout du tout!
La guigne s'est manifestée au travers d'ustensiles tout à fait ordinaires tels que :
- Le diabolique placard à tiroirs roulants, légèrement incliné vers le sol, du coup, les tiroirs s'ouvrent béatement tandis que je ne regarde pas. Dès que je me lève faire quelque chose, boum je me les prends dans la cheville / tibia / genou (rayez la mention inutile).
- La photocopieuse infernale, énorme, large et profonde, dont l'accès au tiroir à papier nécéssite de la tirer en arrière, de faire le tour en évitant les fils et de s'agenouiller pour le trouver (explication rationnelle de ma chef : le tiroir habituel est HS, on utilise celui de secours, je savais même pas que ça existait!).
Bizarrement, c'est souvent quand JE l'utilise qu'elle tombe en bourrage ou en rupture de papier...
- Le système de sécurité informatique digne d'une visite à la préfecture : pour obtenir mes identifiants aux bases de données et autres logiciels difficiles à maîtriser (bien évidemment, tous ces identifiants sont différents et du genre "67y$O0àILuefh5°ç"), il faut aller sur un logiciel centralisé (nécessitant lui aussi de s'identifier et de "motdepasser", pfffff) qui vous imprime un ticket que je dois amener au sercice informatiqe de la boîte (ouvert le Mardi de 14h à 15h35), qui fournit alors ces informations sacrées, ouf!
- La machine à café qui "oublie" soudainement que j'ai mis 80 centimes et affiche magistralement : "crédit : 0,00€, insérez pièces"
- Le téléphone dont la moitié de l'écran ne fonctionne pas une fois sur trois, ça donne donc :
Véroni
Compt
014368
Heureusement, j'ai milité pour qu'on me le change demain, adieu téléphone satanique!
Voilà pour les petites aventures, je pense que j'aurai pas mal de choses à raconter!
On pourrait croire que l'arrivée d'un stagiaire dans une entreprise donne lieu à tout un tas de brimades de la part de ses nouveaux collègues, eh bien dans mon cas pas du tout du tout!
La guigne s'est manifestée au travers d'ustensiles tout à fait ordinaires tels que :
- Le diabolique placard à tiroirs roulants, légèrement incliné vers le sol, du coup, les tiroirs s'ouvrent béatement tandis que je ne regarde pas. Dès que je me lève faire quelque chose, boum je me les prends dans la cheville / tibia / genou (rayez la mention inutile).
- La photocopieuse infernale, énorme, large et profonde, dont l'accès au tiroir à papier nécéssite de la tirer en arrière, de faire le tour en évitant les fils et de s'agenouiller pour le trouver (explication rationnelle de ma chef : le tiroir habituel est HS, on utilise celui de secours, je savais même pas que ça existait!).
Bizarrement, c'est souvent quand JE l'utilise qu'elle tombe en bourrage ou en rupture de papier...
- Le système de sécurité informatique digne d'une visite à la préfecture : pour obtenir mes identifiants aux bases de données et autres logiciels difficiles à maîtriser (bien évidemment, tous ces identifiants sont différents et du genre "67y$O0àILuefh5°ç"), il faut aller sur un logiciel centralisé (nécessitant lui aussi de s'identifier et de "motdepasser", pfffff) qui vous imprime un ticket que je dois amener au sercice informatiqe de la boîte (ouvert le Mardi de 14h à 15h35), qui fournit alors ces informations sacrées, ouf!
- La machine à café qui "oublie" soudainement que j'ai mis 80 centimes et affiche magistralement : "crédit : 0,00€, insérez pièces"
- Le téléphone dont la moitié de l'écran ne fonctionne pas une fois sur trois, ça donne donc :
Véroni
Compt
014368
Heureusement, j'ai milité pour qu'on me le change demain, adieu téléphone satanique!
Voilà pour les petites aventures, je pense que j'aurai pas mal de choses à raconter!